Le visage de la nuit - Tim Dup.lrc

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[00:00.00] 作词 : Tim Dup
[00:01.00] 作曲 : Tim Dup
[00:10.72]Voilà, c'est la fin
[00:14.80]Depuis l'temps qu'on nous en parle
[00:18.03]Sur une plage
[00:21.90]Les genoux écorchés
[00:24.22]L'océan dépose l'écume sur les coquilles blanches
[00:27.54]Polies par le sel
[00:28.96]Le ciel est rose et silencieux
[00:32.82]Et au fond, un bruit blanc
[00:34.62]Tout juste perceptible
[00:39.22]Tes cheveux vermeils forment des courbes et des tresses incomprises
[00:43.97]Tes yeux ont le visage de la nuit
[00:45.91]J'aime que tu sois libre
[00:48.98]J'aime tes hérésies
[00:52.77]Alors je profère les litanies défendues
[00:54.77]Je m'en moque
[00:55.96]Toi, t'es ma seule église
[00:58.01]Une tresse perle de ton épaule comme une pluie sur les Tropiques
[01:03.14]Je passe ma main sur ta nuque aussi nu que les premiers hommes
[01:07.55]Sous le pli ombragé de ton sein droit
[01:13.25]Se dissimule, là
[01:14.94]Un grain de beauté
[01:16.97]Je le sais
[01:19.81]Je le sais Je le sais Je le sais Je le sais
[01:23.12]Je le sais Je le sais Je le sais Je le sais
[01:25.79]Je le sais
[01:29.25]On aperçoit le rayon vert
[01:31.64]Au loin, comme un mirage
[01:34.63]Et l'imprimé qui s'évapore
[01:37.37]On y croit à peine
[01:39.35]Mais le rayon grandit
[01:42.12]Et s'approche
[01:46.65]La mer se déchaîne
[01:50.65]Les vagues ont des hauteur que même la magie ne saurait plus deviner
[01:55.32]On ne s'embrasse pas, c'est trop peu
[01:57.65]On se serre en symbiose
[01:59.96]Valse d'atomes qui s'aimantent
[02:02.19]Parce que tout va disparaître
[02:06.85]Je t'aime
[02:08.49]

文本歌词

作词 : Tim Dup
作曲 : Tim Dup
Voilà, c'est la fin
Depuis l'temps qu'on nous en parle
Sur une plage
Les genoux écorchés
L'océan dépose l'écume sur les coquilles blanches
Polies par le sel
Le ciel est rose et silencieux
Et au fond, un bruit blanc
Tout juste perceptible
Tes cheveux vermeils forment des courbes et des tresses incomprises
Tes yeux ont le visage de la nuit
J'aime que tu sois libre
J'aime tes hérésies
Alors je profère les litanies défendues
Je m'en moque
Toi, t'es ma seule église
Une tresse perle de ton épaule comme une pluie sur les Tropiques
Je passe ma main sur ta nuque aussi nu que les premiers hommes
Sous le pli ombragé de ton sein droit
Se dissimule, là
Un grain de beauté
Je le sais
Je le sais Je le sais Je le sais Je le sais
Je le sais Je le sais Je le sais Je le sais
Je le sais
On aperçoit le rayon vert
Au loin, comme un mirage
Et l'imprimé qui s'évapore
On y croit à peine
Mais le rayon grandit
Et s'approche
La mer se déchaîne
Les vagues ont des hauteur que même la magie ne saurait plus deviner
On ne s'embrasse pas, c'est trop peu
On se serre en symbiose
Valse d'atomes qui s'aimantent
Parce que tout va disparaître
Je t'aime